Hier, Aujourd'hui

Le monde d’avant, le monde d’après

En décembre 2019, 127 passagers prenaient l’avion chaque seconde dans un aéroport du monde. 7620 personnes chaque minute. Près de 500.000 femmes et hommes, chaque heure. Aujourd’hui, ce sont 10 personnes; soit dans tous les aéroports du monde de Los Angeles à Shanghai, de Brisbane à Moscou, d’Abidjan à Tel Aviv, de Paris à Buenos Aires, ce sont deux avions qui décollent chaque minute.

D’ailleurs, il suffit de lever la tête. À quand remonte la dernière trainée blanche que vous ayez vue dans le ciel?

Toujours en 2019, on disait que l’exposition à court terme, pic de pollution, mais surtout l’exposition sur le long terme, chronique, à la pollution de l’air avait des impacts importants sur la santé, en particulier pour les personnes vulnérables ou sensibles. À savoir : femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans, personnes souffrant de pathologies cardio-vasculaires, insuffisants cardiaques, mais aussi les personnes se reconnaissant comme les diabétiques, les personnes immunodéprimées, celles souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire, et infectieux.

Aujourd’hui, dans une grande ville comme Paris, la qualité de l’air s’est améliorée de 27% (source airparif). Alors c’était possible?

Nous pouvons continuer à égrener les choses que l’on considérait  hier encore comme impossible, tant elles venaient perturber notre petite zone de confort et qui se sont imposées, aujourd’hui.

Avant d’aller plus loin, revenons sur la définition de: petite zone de confort. C’est, en fait, un environnement et des habitudes auxquels nous finissons par nous soumettre, bien que tout ne nous convienne pas; mais dont cela nous semble plus acceptable que les efforts, et souffrances associées, qu’il nous faudrait entreprendre et supporter pour créer un autre monde. Un autre monde qui, sur le papier, et intellectuellement, a tout pour être meilleur. Oui, mais; changer implique des souffrances.

C’est pourquoi, chez mango, on parie que tout est possible et qu’il vaut mieux vivre ses rêves que de rêver toute une vie. Alors parlez-nous de vos envies, de votre créativité, de vos passions. On créé aujourd’hui, ensemble, ici et maintenant, une consultation sans frontière.

Allez-y, sans modération, racontez-nous vos désirs, partagez vos idées, défendez votre vision; et tous ensemble, voyons ce que nous pouvons en faire.

Allez, qui commence? Histoire de mettre cent balles dans le nourrain.

Jean Misme